13.3. Stratégies et solutions à adopter
La préservation des logiciels bénéficie cependant de l’existence de nombreuses équipes et communautés intéressées à leur développement et à leur maintenance.
Exemple :
Les musées de l’informatique comme le National Museum of Computing anglais ou le Computer History Museum américain, disposent d’une certaine expérience en la matière.
Exemple :
Plus récemment s’est constituée une organisation à but non lucratif, Software Heritage (https://www.softwareheritage.org/?lang=fr), résultant d’un partenariat entre l’Unesco et l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria), qui a entrepris de collecter, de préserver et de partager le code source de tous les logiciels accessibles au public.
La collecte à laquelle elle procède combine des méthodes manuelles et automatiques, en s’appuyant sur les ressources disponibles dans les dépôts publics comme GitHub, BitBucket, Debian, Google Code et GNU.
Les logiciels collectés sont déposés au Centre européen pour la recherche nucléaire (CERN).
Exemple :
Existe également le Software Preservation Network (https://www.softwarepreservationnetwork.org/) qui fournit conseils et outils pour la préservation des logiciels.