1.1. Cas du document physique/analogique inclu dans une opération de numérisation à la chaîne
Dans le premier cas, il est souvent facile de créer des fichiers de bonne qualité dès lors que la chaîne de numérisation est bien paramétrée, qu’elle soit opérée en interne ou via une prestation externalisée.
Fondamental :
La production des fichiers doit permettre de respecter les points suivants :
définition du format cible en fonction de critères qui garantissent à la fois une bonne qualité de la numérisation, un stockage optimisé – certains formats, par exemple le TIFF, sont volumineux et nécessitent un espace de stockage important – et un respect des normes et standards ;
génération systématique d’une description fonctionnelle et technique – notamment des informations permettant de contrôler l’intégrité[1] du fichier dans le temps (empreinte[2]) ou décrivant les options de numérisation choisies (algorithme de compression, profondeur de bits, résolution de balayage pour les documents sonores et audiovisuels), voire intégration automatique de métadonnées[3] facilitant la gestion du cycle de vie ;
mise en place de procédures manuelles ou automatiques de contrôle qualité, par exemple en mettant en œuvre des opérations de validation de formats[4].