Désormais, correspondances, notes, comptes rendus, procès-verbaux, registres, déclarations, articles, publications et autres écrits soit sont totalement numériques, soit passent, à un moment ou à un autre de leur genèse, par une « phase numérique ». Ce qui n’est pas sans conséquence sur le système de datation des écrits, qu’il vienne en appui de leur gestion, de leur validation, de leur réception ou de leur traitement.
Ce troisième billet s’intéresse donc à la date de temps dans l’environnement numérique, que ce soit en termes de forme, d’apposition et de fiabilité.